Il est 21h lorsque j’atteins Santiago du Chili. Il fait un froid de canard, je commence à regretter d’avoir quitté l’île de Pâques. La ville n’a rien d’accueillant. Les gens baragouinent tellement vite que je n’ai même pas l’impression qu’ils parlent espagnol. Une chose est sûre, je ne vais pas faire long feu dans la capitale.